Une journée sans téléphone, on teste ?

 

Aujourd’hui difficile de garder son téléphone loin de soi. Surtout quand on a le perso’ dans la poche de la veste , et le pro’ dans la poche droite du jean’s Parfois même certains d’entre nous on en plus le téléphone des astreintes dans la poche gauche du jean’s et le DECT du bureau à l’oreille …

Au total ?

4 téléphones  (bon ok le DECT c’est pas un smartphone… mais il est quand même portable !) sans parler des montres connectées au téléphone qui nous rappellent que l’on a un mail non lu .
Pas facile de décrocher dans ces conditions… Aujourd’hui les smartphones sont devenus nos réveils, agendas, mini-ordinateurs, carnets de notes et la pierre angulaire de nos relations avec les autres. Mais si finalement cet outil n’était pas un pollueur de nos relations ?
Combien de fois le midi j’ai ouvert mon téléphone et lu mes mails en retard… au lieu de prendre du temps pour parler à Philippe BERTRAND*  et lui demander comment s’est passé son week-end ?

Et si le temps de quelques jours ou même d’une journée on ralentissait le rythme et qu’au lieu d’envoyer un mail entre midi et deux à Geneviève de la compta’ pour lui demander quelque chose on allait simplement la voir à son retour de pause déjeuner pour prendre de ses nouvelles (et en profiter pour lui demander si elle peut faire cette fameuse chose ). Lui demander comment vont ses enfants, si son week-end était chouette. Parce que, Geneviève, on l’aime bien, et ça fait du bien de ranger son smartphone pour aller lui parler quelque minutes. On mêle l’utile à l’agréable.
Du coup : on favorise nos interactions sociales au bureau, et on « décroche » un peu du dieu smartphone. C’est pas mal non ?

Allez, je finis d’écrire cet article et je vais demander à Philippe BERTRAND comment s’est passé son week-end, et en profiter pour parler du sujet du prochain CALM


*Philippe BERTRAND : Dirigeant, fondateur et formateur du CALM et de Un et un font trois